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- Mis à jour : dimanche 28 septembre 2014 19:53
Avec la Cour des Arts et Jean-Pierre GRAS le centre hospitalier s’ouvre à l’art contemporain
dans le hall de l’hôpital Joseph IMBERT
Vernissage
le vendredi 13 décembre à 17 heures 30
En présence de :
- Monsieur Hervé SCHIAVETTI, Maire d’Arles, Vice-Président du Conseil Général des Bouches du Rhône, Président du Conseil de Surveillance du Centre Hospitalier,
- Monsieur Hervé CHERUBINI, Maire de Saint-Rémy-de-Provence, Vice-Président du Conseil Général des Bouches du Rhône, Président du Conseil d’Administration de l’EHPAD Marie GASQUET
- Monsieur Laurent DONADILLE, Directeur du Centre Hospitalier d’Arles.
- Monsieur le Docteur Antoine KHALIL, Président de la commission médicale d’établissement
- Madame Jacqueline GIROD DOUAT, Présidente de la Cour des Arts de Saint-Rémy-de-Provence
L’art contemporain se faufile, depuis quelques années, dans les hôpitaux au sein desquels il se confronte non plus à un public d’initiés habitué des salons et autres galeries mais à une population dont l’objectif premier est soit de recourir au système de santé, soit de rendre visite à un proche, malade ou résident.
Le centre hospitalier d’Arles est l’un de ces lieux de soins centré depuis bientôt 40 ans (1974) sur l’accueil et les soins.
Mais cet établissement est aussi un bâtiment remarquable, conçu par un architecte célèbre, Paul NELSON. L’hôpital Joseph IMBERT est d’ailleurs inscrit depuis le 3 octobre 1996, à l’inventaire des monuments historiques pour ses façades et ses toitures ainsi que pour ses bouches d'aération au sol. Il a également reçu du ministère en charge de la culture le label Patrimoine XXe.
Alors quel meilleur lieu qu’un bâtiment reconnu lui-même comme oeuvre d’exception pour héberger des artistes ? L’idée de générer des partenariats avec des plasticiens pour toucher des publics pas forcément habitués à côtoyer l'art contemporain s’est donc imposée. Une première exposition, Mirage, est ainsi organisée avec une association reconnue, La Cour des Arts de Saint-Rémy-de-Provence. Le plasticien Jean-Pierre GRAS, membre très actif de cette association, exposera ses oeuvres peintes dans le hall principal de l’hôpital à compter du 13 décembre prochain.
Jean-Pierre GRAS
Né à Grenoble en 1943.
En 1960, entre à l'Ecole des Beaux-Arts d'Avignon où il obtient en 1963 le C.A.F.A.S., diplôme lui ouvrant l’accès à l’enseignement du dessin d’art à l’Education Nationale. Il poursuit ses études artistiques à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts et Arts Appliqués de Nancy dans l'atelier de publicité de M. Jacquot jusqu’en 1965 tout en poursuivant l’enseignement du dessin d’art au lycée de Longwy et au collège technique de Conflant-Jarny.
En 1965, Jean-Pierre Gras entre aux éditions Maeght comme maquettiste, et collabore à la réalisation technique des catalogues, affiches, annonces publicitaires, publications, livres, estampes etc…Il travaille alors avec de très grands artistes : Miro, Chagall, Calder, Bacon, Steinberg, Ubac, Riopelle, Reyberole, Chabal etc...
En charge de famille à partir de 1969, il doit mettre en sommeil ses activités artistiques jusqu’en 2000 date à laquelle il exposera à Lyon dans le site extraordinaire de "Subsistances", à l'occasion de la création d'un spectacle de danse contemporaine "Transversales". A cette occasion, il reprend ses recherches sur l'expression picturale du mouvement et réalise 5 toiles représentant au format 210x125 les danseurs du spectacle.
En 2007, il entame tout naturellement un passage vers le non figuratif et en décembre, il expose pour la première fois à l'espace de l'Oratoire à Villeneuve-lès-Avignon sous le titre " Re-création". Depuis, il a commencé une recherche picturale en abordant de la même manière, le thème très controversé de la tauromachie en évoquant comme une chorégraphie, sons, émotions, rythmes, sensations, aficion et expérimente alors de nouveaux thèmes et de nouvelles techniques
Il anime, depuis 2010, l’atelier de gravure de la Cour des Arts à Saint Rémy de Provence
Expositions: - Décembre 2008 St.Rémy-de-Provence La Cour des Arts
- Juin 2009 Feria de Nîmes, exposition de groupe
- Octobre 2009 St. Jean-de-Luz, exposition de groupe.
- Décembre 2009 Villeneuve-les-Avignon à L'espace de l'Oratoire en compagnie de
- Gilbert Roux
- Avril 2010 Feria de St. Martin-de-Crau
- Novembre 2010 Festival Terang’Art, Morières-les-Avignon avec 3 artistes africains
- Décembre 2010 St.Rémy-de-Provence La Cour des Arts
- Décembre 2011 Villeneuve-les-Avignon à l'Espace de l'Oratoire en compagnie de
- Gilbert Roux
- Décembre 2012 St.Rémy-de-Provence La Cour des Arts
Exposition du 13 décembre 2013 au 14 janvier 2014
Hall du centre hospitalier d’Arles
Ouverture au public tous les jours de 9 heures à 16 heures
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Le forum organisé par "La Provence" à l’hôpital a été riche d’enseignements
Comprendre le mécanisme qui déclenche un accident coronarien, un infarctus du myocarde, savoir quels sont les gestes à entreprendre, mieux connaître les traitements et enfin savoir comment vivre après un tel incident, tels étaient les quatre grands chapitres du forum sur les maladies cardiovasculaires organisé hier soir par La Provence à l’hôpital d’Arles, en partenariat avec les laboratoires "Astra Zaneca".
Avec pédagogie et un humour bienvenu, les docteurs Frédéric Ortuno et François Saint-Pierre ont d’abord livré un exposé à deux voix, qui a été écouté par un auditoire attentif, de plus d’une centaine de personnes.
"On peut connaître par une méthode appelée "Score", le risque individuel de chaque patient de développer une maladie cardiovasculaire", a expliqué le docteur Saint-Pierre. Les facteurs aggravants étant l’hérédité, le tabac, le diabète, ou, ce qui est moins connu, l’apnée du sommeil.
Ensuite, comment détecter un infarctus ? "Par des douleurs qui se manifestent au niveau du thorax, de la mâchoire, des avant-bras ou des poignets", a indiqué le docteur Saint-Pierre. Pas forcément toutes en même temps d’ailleurs. Que faut-il faire en pareil cas ? "La meilleure réaction, c’est d’appeler le 15", a informé le docteur Ortuno. 30%des patients, malheureusement, n’arriveront pas à l’hôpital.
Et ensuite, si le diagnostic confirme la possibilité d’un accident cardiaque, c’est une véritable course contre la montre qui va être lancée, pour permettre au patient d’être traité dans les meilleurs délais, suivant ce qui s’adaptera le mieux à sa pathologie, la thrombolyse, qui consiste à injecter un liquide dans l’artère concernée, ou l’angioplastie, avec la pose des fameux "stents", ces ressorts qui permettront de nouveau au sang de circuler.
Opéré, le patient sorti d’affaire doit ensuite composer avec sa maladie, puisque "c’est bien d’une maladie chronique qu’il s’agit, avec le risque, si rien n’est mis en place, de faire un nouvel infarctus", a insisté le docteur Saint-Pierre. Alors, que faire ? Arrêter de fumer, restreindre fortement le sel dans son alimentation, se livrer à une activité physique quotidienne (une marche de trente minutes), bref, appliquer des conseils de bon sens.
Si les cardiologues ont fait d’immenses progrès ces dix dernières années, consulter à la moindre alerte peut aussi être utile. Actuellement, on compte encore 80 000 décès par an à la suite d’un accident cardiovasculaire.
E.G.
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Le Centre Hospitalier se mobilise le jeudi 28 novembre
Neuf stands d’information et quatre conférences accueilleront le public
et les professionnels de santé
de 10 h à 16 heures dans le hall de l’hôpital
et de 14 heures 45 à 16 heures en salle des conférences
La sécurité des soins apportés aux patients est un objectif majeur pour l’ensemble des acteurs
du système de santé.
C’est la raison pour laquelle le ministère chargé de la santé a décidé de dédier la période du
25 au 29 novembre 2013 à la 3ème édition de la semaine de la sécurité des patients. Cet
évènement vise à favoriser la communication sur la sécurité des soins et à mettre en avant le
dialogue entre les patients, les usagers et les professionnels de santé.
Le thème 2013 est fédérateur : « Engageons-nous pour des soins plus sûrs » !
Le Centre Hospitalier d’Arles, très engagé dans une dynamique de promotion de la sécurité
des soins prodigués aux patients, organise une journée d’échanges et de débats avec le public
le jeudi 28 novembre 2013.
Cette manifestation est organisée en deux volets. Le premier se déroulera de 10 h à 16 heures
et comportera 9 stands illustrant des thématiques importantes pour les patients et pour les
professionnels de santé. Le second, de 14 heures 45 à 16 heures, enrichira la journée de quatre
courtes conférences permettant des échanges avec la salle.
Enfin, un Flash mob organisé par les personnels sur le thème du lavage des mains aura
lieu en début d’après-midi. Il sera ensuite diffusé sur «You tube ».
Neuf stands accueilleront le public autour de trois thèmes :
Les stands de la thématique « Bien utiliser les médicaments »
La délivrance et la prise médicamenteuse : le stand présentera les bonnes pratiques de
prescription et d’administration des médicaments utilisées par les professionnels de santé.
L’information du patient dans ce domaine fait l'objet d'une politique d’établissement qui
définit les rôles et les responsabilités des différents acteurs : prescripteurs, équipe soignante et
pharmacien. Le stand permettra en outre de rappeler au public les règles d’observance des
traitements médicamenteux prescrits par leurs médecins.
Les programmes d’éducation thérapeutique pour les patients insuffisants cardiaques et
diabétiques : Les patients atteints d’insuffisance cardiaque et de diabète seront informés des
possibilités d’accès à des programmes d’éducation thérapeutique conduits par des équipes
pluridisciplinaires (médecins, infirmiers qualifiés, diététiciens et psychologues) pour favoriser
le suivi des traitements prescrits et la prévention de complications. L’éducation thérapeutique
du patient vise à aider les patients à gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique. Elle
est un processus continu, qui fait partie intégrante et de façon permanente de la prise en
charge du patient.
Pratique PICCLINE et chambre implantable : ce stand apportera une information sur lesnouvelles techniques de perfusion proposées aux patients. La chambre implantable est un
dispositif qui permet un accès vasculaire de qualité tout en préservant l’abord veineux
périphérique et donc le capital veineux des patients. Des professionnels compétents et formés
seront à la disposition du public et des professionnels de santé pour expliquer ces pratiques
permettant de maintenir l’autonomie et le confort des patients lors des traitements.
Les stands de la thématique « Favoriser la communication et apprendre de ses erreurs »
Rôle des usagers dans l’établissement : ce stand mettra en exergue l’implication des
représentants des usagers dans les instances de l’hôpital et dans la communication entre
patients, familles et professionnels de santé. Les représentants des usagers sont issus
d'associations agréées en matière de santé. Certains d'entre eux siègent au conseil de
surveillance de l'établissement et dans différentes commissions
La prévention des risques et le COVIRISQ (COmité des VIgilances, des RISques et de la
Qualité) : Seront présentées les missions de ce comité chargé d’identifier les risques liés aux
activités de soins, de prévenir la survenue d’accidents liés à ces risques et de mettre en place
un plan d’action opérationnel pour réduire ces risques.
La prévention des infections nosocomiales : ce stand soulignera l’importance, pour la
prévention des infections nosocomiales, du respect des règles d’hygiène dans les soins
dispensés aux patients par les personnels de santé. Seront notamment présentés l’équipe
opérationnelle d’hygiène hospitalière et le comité de lutte contre les infections nosocomiales
qui assurent l’élaboration et le suivi des actions de prévention en matière d’hygiène
hospitalière.
L’identitovigilance : ce stand apportera une information au grand public sur une activité
méconnue, gérée par un comité d’identitovigilance dont la mission est de poser les règles qui
assurent la sécurité des soins par le contrôle et le respect strict de l’identité du patient tout au
long de son parcours de soins. Cette mission vise donc à éviter tous les accidents que pourrait
occasionner une erreur d’identification d’un patient, par exemple en matière de transfusion
sanguine, de dispensation de médicament, d’acte chirurgical, d’examen médical. L’identité du
patient est vérifiée à chaque intervention d’un professionnel de santé.
Les stands de la thématique « La sortie du patient hospitalisé »
Le service de soins à domicile (SSIAD) et le service social : seront présentées sur ce stand
des actions susceptibles d’être mises en oeuvre pour faciliter le retour puis le maintien à
domicile des patients, notamment les plus âgés d’entre eux. La sortie et le devenir du patient
se prépare grâce à l’intervention du service social dans chaque unité de soins. Les assistants
sociaux sont mobilisés à la demande du patient, de ses proches ou du personnel soignant.
Le SSIAD et son équipe spécialisée Alzheimer (ESA), constitués de personnels qualifiés
prennent le relais à domicile pour assurer si nécessaire la continuité des soins. Le SSIAD du
centre hospitalier d’Arles prend chaque jour en charge 100 patients, pour la plupart très âgés.
L’ESA assure le suivi d’une quinzaine de patients atteints de troubles neurologiques
dégénératifs.
La sécurité du patient à la sortie de l’hôpital : ce stand présentera des actions réalisées à la
sortie des services hospitaliers pour renforcer la sécurité du patient lors de son retour à
domicile.
Un focus spécial concernera la chirurgie ambulatoire avec « l’appel du lendemain ». En effet,
pour les interventions chirurgicales réalisées en journée avec sortie des patients le soir même,
un contact téléphonique systématique avec le patient est réalisé par l’équipe paramédicale le
lendemain de l’intervention afin de s’assurer de l’état de celui-ci.
Pour les autres patients, une fiche de liaison à l’attention des professionnels de santé
intervenants pour la continuité de sa prise en charge à domicile est remise au patient lors de sa
sortie.
Ces organisations permettent d’assurer surveillance et soins au patient à sa sortie.
Ces neuf stands seront accessibles au public dans le hall de l’hôpital de 10 heures à 16 heures.
Des informations ainsi que des brochures et documentations diverses pourront être obtenues
directement auprès des professionnels présents.
Quatre conférences informeront le public :
Les messages diffusés sur les stands seront complétés par quatre courtes conférences qui se
tiendront en salle des conférences à partir de 14 heures 45.
La prévention des infections liées aux soins
(Mme Martine DAUMAS, biologiste)
Bien utiliser les médicaments
(M Frédéric LESSELINGUE, Pharmacien)
La sortie du patient :
L’action du service social
(Mme Audrey JOURDAN, assistantes sociale)
La prise en charge par le SSIAD
(Mme Laurence AMANS, cadre de santé)
La fiche de liaison du dossier patient pour bien préparer la sortie du patient
(Mme Isabelle BERARD, cadre de santé)
Le rôle des représentants des usagers au sein du Centre hospitalier
(Mme Josiane DOMINI- JAUFFRET, membre du conseil de surveillance)
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- Mis à jour : dimanche 28 septembre 2014 19:53
Journée Mondiale du diabète : Le Centre Hospitalier se mobilise le 14 novembre !
Un stand de dépistage, de prévention et de conseil accueillera le public
de 10 heures à 16 heures dans le hall de l’hôpital
La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète et soutenue par
l'Organisation Mondiale de la Santé, s’inscrit dans le cadre d’une importante campagne de
sensibilisation au diabète.
En France, avec 600 000 personnes diabétiques sans le savoir, le diabète est un enjeu essentiel de santé
publique. En effet, le risque de développer un diabète s’est accru. La principale raison ? Notre mode de
vie associé à une mauvaise hygiène alimentaire et à un manque d’activité physique. Cette pathologie
concerne aujourd'hui toutes les tranches d'âges notamment, phénomène croissant, les jeunes gens en
surcharge pondérale.
Mais bon nombre des personnes concernées ignorent qu’elles mettent leur santé en danger. En effet, le
diabète est indolore et s’il n’est pas diagnostiqué ou pris en charge à temps, les personnes concernées
encourent des conséquences graves telles que lésions vasculaires, maladies des yeux, insuffisance
rénale, accident vasculaire cérébral ou infarctus du myocarde.
Il est donc primordial de connaître son niveau de risque et de le prévenir en agissant très tôt.
Pour cela, le jeudi 14 novembre, sur le stand tenu dans le hall de l’hôpital par Madame le Docteur
Laure Rocher et l’équipe paramédicale du service d’endocrinologie-diabétologie et de l’hôpital de jour
de médecine, le public aura accès à des tests de glycémie capillaire (une toute petite piqure au bout
d’un doigt pour un résultat immédiat !) ainsi qu’à un quizz diététique pour tester ses connaissances et à
des informations personnalisées prodiguées par les professionnels de l’établissement.
Pour tout renseignement complémentaire contacter la Direction du CH d’Arles
(04 90 49 29 01 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )
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- Mis à jour : dimanche 28 septembre 2014 19:53
Depuis quelques mois l’établissement développe une démarche d’accompagnement au maintien dans l’emploi pour les personnels en situation de maladie ou de handicap.
En quoi consiste la démarche ? La démarche consiste en deux volets complémentaires :
La Reconnaissance de Travailleur Handicapé (RQTH)
Est considérée comme travailleur handicapé « toute personne dont les possibilités d’obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites par suite de l’altération d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales ou psychiques ». Le Médecin du travail aide à la constitution des demandes examinées par la MDPH*.
Cette reconnaissance permet de mobiliser des dispositifs variés pour améliorer les conditions d’emploi et peut, sous certaines conditions permettre un départ en retraite anticipé.
* Maison Départementale des Personnes Handicapées
- d’une part la mise en place d’un accompagnement des agents qui reprennent le travail après un arrêt de travail prolongé, en vue d’optimiser leurs conditions de retour (création d’une commission Emploi Santé, entretiens de situation avec les agents volontaires..).
- d’autre part, une coopération a été instituée entre l’établissement, le FIPHFP et l’ANFH, permettant la mobilisation d’aides variées.
Qui peut-être bénéficiaire du dispositif ?
Toute personne en situation de difficulté physique, de souffrance au travail peut-être reçue à sa demande par le médecin du travail, par un membre de la commission Emploi Santé ou par le référent Emploi Santé.
Pour les aides techniques : toute personne titulaire d’une reconnaissance de travailleur handicapé, d'une carte ou d'une pension d'invalidité ou d’une restriction d’aptitude.
Quelles sont les aides proposées ?
Adaptation ergonomique du poste de travail (fauteuil, matériel de bureautiques adaptés), adaptation du véhicule, aide au financement de prothèses ou orthèses, bilan de compétences pour faire le point sur sa carrière ou formations en vue d’une reconversion constituent les aides les plus couramment sollicitées mais cette liste n’est pas exhaustive.
Renseignements :
Service de Santé au Travail : Dr. GERME : 29 09 - Référent Emploi santé : Isabelle ARROUVEL : 45 93