Cancer colo-rectal

communiqe de presse mars bleu 2015Cancer colo-rectal : les équipes du centre hospitalier d’Arles se mobilisent


le 28 mars 2015 de 8 h à 12 h sur le marché d’Arles, bd des Lices


Le centre hospitalier d’Arles a obtenu de l’Agence Régionale de Santé 4 autorisations en cancérologie pour le traitement chirurgical des cancers du sein, du pelvis (utérus, ovaires), celui des cancers digestifs et pour l’administration des chimiothérapies.
Tous les dossiers de patients pris en charge sont, dès le stade du diagnostic, analysés individuellement dans le cadre de réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) qui associent chirurgiens, oncologues médicaux, radiologues et radiothérapeutes en lien avec des centres spécialisés : l’Institut Paoli Calmette, l’Institut Sainte Catherine ou le CHU de Nîmes.

Un dispositif complet de prise en charge médico-chirurgical et d’accompagnement (consultation d’annonce, suivi psychologique, conseils diététiques, support social…) a été développé pour apporter aux patients des soins hautement spécialisés mais de proximité, élément important dans un contexte de pathologies à forte pénibilité.

Mais mieux vaut prévenir que guérir ! Aussi, conscients des enjeux à la fois individuels et de santé publique posés par le cancer colorectal, les équipes du centre hospitalier d’Arles organisent une manifestation en vue de sensibiliser le grand public à sa prévention dans le cadre de l’opération nationale Mars Bleu :

Le samedi 28 mars 2015 de 8 h à 12 h

Le Dr Sophie ALIBERT, gastro-entérologue et oncologue et son équipe soignante du service de gastro-entérologie et l’équipe soignante de l’hôpital de jour de médecine et oncologie dirigée par le Dr Malika CHAOUCHE, oncologue médicale, qui prennent en charge les patients et assurent l’administration et le suivi des chimiothérapies ainsi que les soins de support animeront un stand d’information sur le marché d’Arles, à l’angle du bd des Lices et de la rue Jean JAURES.

Pourquoi le test ? La Provence 27 mars 2015

Le cancer colorectal, aussi appelé cancer de l’intestin, est la 2e cause de décès par cancer en France. Il se développe lentement à l’intérieur du côlon ou du rectum, le plus souvent à partir de petites lésions dénommées polypes. Ce cancer est l’un des plus fréquents et touche 4 hommes sur 100 et 3 femmes sur 100, le plus souvent après l’âge de 50 ans.

Et après le test ? Détecter tôt un cancer ou une lésion précancéreuse

Le test de dépistage, proposé aux personnes de 50 à 74 ans, réduit la mortalité par cancer colorectal. Il permet de détecter un cancer à un stade très précoce, et d’augmenter les chances de guérison. Grâce à ce dépistage, on peut aussi repérer une lésion avant qu’elle n’évolue en cancer. En cas d’antécédents personnels ou familiaux de polype, de cancer ou de maladie du côlon, votre médecin pourra proposer d’autres modalités de dépistage.


Pour tout renseignement complémentaire, contacter la Direction du CH d’Arles
(04 90 49 29 01 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )